ZENON AUJOURD’HUI
C’est l’accompagnement de dirigeants et décideurs dans l’élaboration de leurs arbitrages et la construction de leurs décisions.
Zenon est exclusivement rémunéré sur le principe des « success-fees »
Nous avons l’habitude de payer notre médecin parce que nous sommes malades. Et nous faisons de même avec ceux qui nous conseillent parfois dans le pilotage de nos entreprises. Les habitudes, comme les idées reçues, ont la vie dure.
Pour une rémunération exclusivement au « success-fees », les conditions du succès sont préalablement définies. Remplies, elles donnent lieu à rémunération.
Ainsi, le médecin est payé quand son patient retrouve la santé, le conseil quand l’entreprise atteint son objectif.
Imaginer que les conditions du succès ne puissent être définies implique en réalité que l’on ne sait réellement ni ce qu’on veut, ni où on va… Je préfère passer mon chemin.
Comme le dit Martine, « Quand c’est flou… Y’a un loup ! »
Nb : Les missions rémunérées « au temps passé » gardent leur utilité mais n’entrent pas dans le champ de mes interventions : elles relèvent de la sous-traitance, de l’externalisation, et/ou de l’achat ponctuel d’expertises spécifiques.
ZENON PHILOSOPHE GREC (environ 490/430 av J.C)
On ne sait que très peu de chose de sa vie. Il nous laisse ses paradoxes, relayés essentiellement par Aristote, et devient le philosophe du continu (ou de l’infini, suivant les auteurs)
Parmi les paradoxes de Zenon sur le fini et l’infini : Achille et la tortue Achille situé en O poursuit une tortue qui se trouve en A. Le temps qu’il arrive en A, la tortue sera en B. Achille devra donc ensuite aller en B. Mais alors la tortue sera en C…Etc. (voir le schéma ci-dessus)
Les paradoxes de la dichotomie, de la flèche, du stade, viennent enrichir la même réflexion : le mouvement existe-t-il ? A-t-il un sens ? Est-il divisible ou continu ?
« Il montra qu’une même chose serait semblable et dissemblable, égale et inégale… »(Descartes)
ZENON chez M. YOURCENAR (L’oeuvre au noir-1968)
Zénon, alchimiste de la Renaissance, épris de savoir et de liberté, parcourt le monde puis revient dans sa patrie, où il se consacre à transmettre et faire le bien. Il est condamné au bûcher pour ses opinions.